L’aménagement des pôles d’échanges multimodaux constitue un enjeu majeur : concevoir des espaces qui ne privilégient plus la voiture, mais favorisent une intermodalité fluide entre tous les modes de transport.
Les territoires disposent de leviers concrets pour mettre en place des solutions accessibles, efficaces et qui encouragent les modes alternatifs.
Avec le déploiement des Services Express Régionaux Métropolitains (SERM), cette réflexion gagne en urgence : comment faciliter l’interconnexion et le rabattement vers les PEM ?
Le SERM, dispositif de transport collectif pensé pour les grandes agglomérations, s’inspire du modèle des RER franciliens : desserte structurante, régulière, cadencée, connectant centres-villes, périphéries et zones périurbaines. Il offre une alternative crédible à la voiture individuelle.
Il s’inscrit dans une démarche de mobilité durable, de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de renforcement de la cohésion territoriale, en facilitant l’accès à l’emploi, aux services et aux équipements. Les PEM, véritables portes d’entrée du réseau SERM, doivent être conçus comme des catalyseurs d’intermodalité : correspondances fluides, sûres, décarbonées.
Penser les PEM à l’aune du SERM, c’est repenser la façon d’accéder au réseau : favoriser les mobilités actives, diminuer la dépendance à la voiture et transformer les déplacements du quotidien en leviers de transformation territoriale.
Etat des lieux de l’intermodalité en France :
L’intermodalité désigne le fait, pour une personne ou une marchandise, d’utiliser plusieurs modes de déplacements similaires ou différents lors d’un déplacement (à partir de deux trajets). Afin d’interroger les enjeux de l’intermodalité au sein des PEM, il convient de caractériser celle-ci, en prenant l’exemple des grands mobiles intermodaux. Ils se définissent comme des personnes faisant au moins un déplacement de plus de 10 km par jour. Cette notion est issue de l’ouvrage bilan du Cerema « MOBILITÉS :Comprendre les années 2010-2020 pour mieux appréhender demain ». Les résultats des enquêtes ménages et déplacements dites EMC² sur des métropoles (dont certaines sont aujourd’hui concernées par un SERM) dressent le constat d’une augmentation de la part grands mobiles intermodaux au sein des usagers pratiquant l’intermodalité

Cette augmentation est liée au phénomène de périurbanisation et de retour vers le ‘rural’ d’une partie de la population des grandes métropoles ainsi que la concentration de l’emploi, des services dans les pôles d’activités (situé dans les espaces urbains), allongeant de ce fait les distances parcourues pour les déplacements quotidiens. Entre 1999 et 2019, la distance médiane des déplacements domicile-travail a augmenté de 4,4 km pour les actifs en emploi résidant dans le rural (contre 2,3 km pour l’ensemble des actifs en emploi) avec une distance pour un aller de 12.5 km pour des habitants du rural contre 6 km pour les urbains.
Concernant leurs modes de déplacements, 54% des grands mobiles intermodaux favorisent l’intermodalité avec leur véhicule personnel pour se rendre vers un transport en commun contre 28% pour autres usagers intermodaux. De plus, il y a une grande différence entre les grands mobiles intermodaux et les autres personnes pour l’intermodalité TC-TC. Ils sont selon 35% pour les grands mobiles intermodaux contre 66% pour les autres usagers. Cet écart s’explique, par la localisation des grands mobiles intermodaux. Ils vivent majoritairement en périphérie des métropoles, où le recours à la voiture est prépondérant du fait de l’offre de TC moindre pour rejoindre les PEM en termes de cadence, d’amplitude horaire et de desserte.

Image 2 : Comparaisons des combinaisons intermodales des grands mobiles avec celles des autres personnes.
Les mobilités du quotidien : Comprendre les années 2010-2020 pour mieux appréhender demain. CEREMA, 2022
Ces données montrent l’importance du recours à l’automobile dans les trajets intermodaux et des enjeux de l’accueil de celle-ci au sein des PEM pour le stationnement. L’aire d’attractivité des PEM desservis par un SERM étant élargie, l’importance du recours à la voiture augmente en concordance.
Enjeux du stationnement :
Le stationnement est une problématique centrale aujourd’hui dans l’aménagement des pôles d’échanges. Dans de nombreuses intercommunalités, la demande en stationnement au niveau des PEM dépasse souvent la capacité des parkings relais, notamment aux heures de pointe, ce qui crée des tensions (stationnement sauvage, conflits d’usage, congestion locale). Ce phénomène, particulièrement accentué dans le périurbain et dans le rural (on retrouve ici les zones que souhaite cibler les SERM) est multifactoriel :
- La facilité d’usage de la voiture lié à un système voiture perfectionné depuis des décennies.
- L’augmentation des distances qui est le fruit de la périurbanisation accentuée autour des métropoles françaises (corrélation avec l’augmentation du nombre de grands mobiles intermodaux).
- Le manque d’attractivité des mobilités alternatives dans ces espaces durant les deux dernières décennies.
- Une tarification historiquement souple favorisant l’intermodalité à partir de la voiture ainsi qu’un stationnement résidentiel des habitants aux alentours de la gare.
La réalisation des SERM, induisant une amélioration d’offre de transport, a renforcé l’attractivité et la zone de rabattement de gare qui ont dû se redimensionner en PEM. Cela a conduit les collectivités à réaliser des travaux en créant notamment des extensions de parking. Plusieurs exemples ont été présentée lors des webinaires du Cerema lié à l’aménagement des PEM avec l’arrivée du SERM :
- Le PEM de Lunel appartenant au réseau du SERM de Montpellier avec un projet d’extension de la zone de stationnement
- Le PEM de la Bâtie en à Saint-Ismier en Isère afin d’accueillir le SERM Grenoblois à l’horizon 2030
- Le PEM d’Ambérieu de réseau SERM Lyonnais avec un parking relais en projet
Bien qu’utiles ces aménagements entrainent leurs lots de conséquences :
- Un effet d'appel de l'automobile : l’agrandissement des parkings incitant davantage de personnes à venir en voiture, renforçant ainsi la congestion aux abords et perpétuant les problématiques de stationnement
- L’augmentation de la consommation et de l’imperméabilisation d’espaces (souvent agricole ou naturel dans les territoires périurbain et ruraux) nuisant aux écosystèmes locaux et dégradant la qualité paysagère des PEM.
- Entretien et exploitation coûteux : plus de places signifient plus de coûts d’entretien, de surveillance et d’infrastructures associées (éclairage, voirie, signalétique,…)
- Réduction de l’accessibilité pour les autres modes
Ces projets d’extensions questionnent sur la cohérence des politiques de mobilité. En effet le développement des mobilités alternatives à la voiture individuelle reste un enjeu majeur, afin de réduire les émissions de GES et offrir des solutions de mobilité crédibles pour tous les habitants. Ils témoignent cependant de l’importance actuelle de l’intermodalité à partir de la voiture pour rejoindre les PEM périurbain. Un paradoxe quand l’un des principes même du SERM est de décarboné les mobilités et de les rendre accessibles à tous.
A partir de ce constat, quelles sont les solutions envisageables (et d’ores et déjà envisagées par les territoires) afin de résoudre les problématiques de stationnement et de briser l’engrenage de l’extension des espaces de stationnement ?
Les solutions liées à l’aménagement des PEM sont réparties en deux catégories : celles limitant l’attractivité de la voiture et celles permettant de développer l’intermodalité grâce aux modes doux
Aménagement des PEM pour limiter l’attractivité de la voiture :
• Stationnement payant ou à durée limitée : introduction d’une tarification progressive pour décourager le stationnement longue durée.
• Tarification différenciée selon l’usage : tarifs réduits pour les covoitureurs, véhicules partagés ou électriques.
• Abonnement réservé aux usagers des transports : contrôle d’accès via billet de transport, carte du réseau de TC, QR code SNCF par exemple.
• Réserver des espaces de stationnement aux usagers du covoiturage : contrôle par barrières, QR code ou lecture de plaque :
• Zones à durée maximale stricte : rotation obligatoire, voire verbalisation automatisée
• Refuser l’agrandissement des parkings pour inciter à un report modal
• Extensions durables en utilisant de revêtements perméables (dalles engazonnées, graviers stabilisés), l’aménagement de parking silo en matériaux biosourcés, implantation d’ombrières photovoltaïques.
Le gare d’Ambérieu du réseau SERM Lyonnais, étant dans sa phase réaménagement en PEM, est en réflexion sur une tarification différenciée pour chacun des espaces de stationnement prévu avec un parking de covoiturage gratuit, un parking payant, 10 places de dépose minute et enfin le futur parking relais.

Exemple avec l’extension de stationnement en projet à Ambérieu en utilisant une structure de parking à étages démontable en Bois scolyté.

Image 4 : Projet de Parking Relais durable sur le PEM d'Ambérieu
Source : Communauté de communes de la Plaine de l’Ain présentation webinaire CEREMA
Enfin la gestion dynamique du stationnement peut aider à limiter les désagréments engendrés par l’usage excessif de la voiture. En effet, la plupart des PEM périurbains arborent encore avec une gestion passive du stationnement avec, notamment, une absence de suivi en temps réel, un manque d’information sur les disponibilités en stationnement, ainsi qu’une absence de pilotage coordonné avec les autres modes de transport. Cela peut entrainer de la circulation inutile afin de trouver une place. La gestion dynamique s’appuie sur des systèmes de comptage en temps réel permis par des capteurs qui peuvent ensuite être relayés par un système d’information dynamique : les informations sur le nombre de places disponibles et leur localisation. Un système de réservation peut être mis en place que ce soit via l’abonnement de transport ou avec un lecteur de plaque, les réservations pouvant être différenciées selon les types de déplacement (favorisant l’écomobilité par exemple). Ce système permet également d’analyser et d’améliorer la gestion du stationnement via la collecte des données d’occupation pour identifier les heures de pointe, les profils d’usagers, les types de déplacements.
D’autres aménagements peuvent être réalisées pour favoriser la fluidité de la circulation au sein des PEM, la création de zones « dépose-minute » situées proche de la gare (limitant la durée de stationnement et favorisant les arrivées en covoiturage) est l’exemple le plus commun. Par exemple le PEM de Belleville-en-Beaujolais intégré dans le SERM Lyonnais qui plutôt que d’agrandir ces espaces de stationnement à préférer opter pour la mise en gestion de plusieurs zones de stationnement afin de privilégier certains usagers (covoiturage, habitants en fonction de l’éloignement de la gare) permettant aussi une souplesse d’évolution dans le temps.

Image 5 : plan de la répartition des zones de stationnement du PEM de Bellevile-en-Beaujolais
Source : AREP/CC de Saône en Beaujolais, webinaire Cerema
Solutions favorisant les autres modes actifs et les transports collectifs :
Aménagements pour les piétons :
Des aménagements et des services à destination des piétons sont indispensables afin d’inciter leur pratique, ce travail est à réaliser aux abords du PEM mais également à une échelle plus large.
Parmi les aménagements pour les piétons, on peut citer les cheminements sécurisés, continus et lisibles : trottoirs larges, éclairage, traversées courtes et sécurisées (plateaux ralentisseurs par exemple), revêtements confortables, abris pluie/soleil. Il faut également veillez à ce que ces aménagements soient accessibles pour les PMR (avec des mises à niveau, des revêtements spécifiques, des ascenseurs ou rampes PMR)
Dans l’enceinte du PEM la priorité de circulation doit être piétonne, en réduisant les vitesses de circulation, en aménageant des traversées surélevées et des marquages lisibles. Les espaces publics du PEM et alentours doivent être agréables à fréquenter avec des espaces d’attente, de charge d’appareils informatiques, de travail, de végétalisation ainsi qu’une signalétique intuitive. Le PEM de Rennes est un bon exemple de cette prise en compte du piéton avec sa passerelle piétons sécurisée, la continuité des trottoirs vers les commerces et ces espaces de travail.

Image 6 : PEM de la Gare de Rennes Métropole
Source : SNCF Gares Et Connexions -AREP / Photographe : Mathieu Lee Vigneau
Aménagements pour les cyclistes :
Favoriser l’intermodalité cycles/TC dans les PEM passe également par l’aménagement de voie cyclables et par l’implantation de plusieurs services en gare et aux alentours.
Le premier axe est l’aménagement de cheminements cyclables continus et sécurisés, par le biais de pistes, voies vertes ou bandes cyclables selon le trafic, les vitesses de circulation observées et les largeurs disponibles. Le raccordement de ces installations à des itinéraires cyclables existants permettent d’assurer une continuité des déplacements depuis les pôles générateurs de flux vers les PEM. La signalétique vélo sur le trajet et au sein du PEM est également primordiale afin de guider les cyclistes jusqu’aux équipements et services vélo. De nombreux territoires travaillent dans ce sens. C’est le cas notamment du PEM de Brignoud (CC Grésivaudan, futur SERM Grenoblois). Les travaux prévoient des aménagements cyclables raccordés au PEM avec une voie verte de 4 mètres (mise en service prévue en 2028). C’est aussi le cas pour le SERM de Montpellier avec l’aménagement d’uune voie verte entre Lunel et Marseillargues sur 3.7 km en 2021.


Images 7 & 8 : Voie verte Lunel – Marsillargues (Schéma et Photographie)
Source : Lunel Agglomération
En plus des aménagements d’autres services doivent être mis en place pour favoriser l’usage du vélo :
• Stationnements vélos sécurisés et couverts avec recharge VAE, permettant aux cyclistes de garer leur vélo rapidement et de façon sécurisée. Ces dispositifs favorisent l’intermodalité en réduisant la crainte du vol ou du vandalisme et en offrant une solution rapide de stationnement,
• Ateliers vélo ou services de réparation/gonflage rapide sur site. Permet l’entretien de base des vélos (crevaison, réglages…). Cela favorise la fiabilité du vélo comme mode de déplacement quotidien
• Des casiers sécurisés pour stocker ses affaires (équipement vélo, vêtement de pluie) améliorant le confort de cycliste
Le PEM de la gare Nantes est un modèle concernant les services vélo avec un format d’abonnement permettant l’accès à 1216 places de stationnement adaptés pour les vélos électriques avec des bornes de recharge, les vélo Cargos et longtails via des emplacements grand format, des stationnement adaptés PMR. Concernant les autres services, l’espace dispose de casiers pourvus de prises électriques ainsi qu’un atelier de réparation.


Images 9 & 10 : Services vélo du PEM de Nantes Métropole
Photographe Léo Hureau
Dans les PEM de grande importante il est déterminant d’installation d’un système de vélo en libre-service et sur plusieurs pôles clés du territoire comme à Saint-Malo avec le réseau Vélo MAT avec des VLS en gare, aux arrêts de transport en commun (Car, TAD).

Image11 Emplacement de stationnement des vélos en libre-service au PEM de Saint-Malo
Source : Ville de Saint-Malo
Ces aménagements et services encouragent, sécurisent et rendent légitime l’usage du vélo pour les trajets vers le PEM.
Aménagements pour les transports en commun :
L’attractivité des transports en commun moindre dans les espaces ruraux et périurbain est principalement imputable au cadencement et à l’amplitude horaire de ces services dans ces espaces, représentant un coût d’exploitation trop important pour les collectivités au vu du nombre d’usagers. Dans les cadres des PEM rattachés à un SERM, il est essentiel d’harmoniser la cadence et l’amplitude horaire des bus avec celle du SERM afin de faciliter les correspondances. Pour les communes les plus denses la création de lignes de rabattement fréquentes et directes via un bus express ou car à haut niveau de service (BHNS) est préconisée. Le transport à la demande est quant à lui plus favorable sur des territoires ruraux où la fréquentation des lignes de transports traditionnelles est plus faible au regard du coup qu’elles représentent.

Image 12 : Carte du nouveau réseau MAT (janvier 2025)
Source : Saint-Malo Agglomération
Le BHNS de Nantes, desservant un arrêt à proximité de la gare et du tram ainsi que le BHNS d’Aix-en-Provence desservant lui aussi la gare (s’intégrant dans la futur SERM Aix Marseille Provence 2030) sont deux exemples d’une intégration d’un BHNS connectant un PEM desservi par un SERM. Concernant le transport à la demande, l’agglomération de Saint-Malo a fait le choix de convertir une partie de son réseau de ligne continue en arrêt de transport à la demande ainsi que de créer des nouveaux arrêts de TAD pour mailler plus équitablement le territoire et offrir une alternative à la voiture dans les territoires les plus enclavés (arrêt de TAD en bleu sur la carte).
Enfin, un travail peut également être réalisé sur la tarification avec la mise en place d’une billettique unique ou de carte d’abonnement réseau. La Communication et lisibilité de l’offre sur une application unique, en temps réel mais aussi au niveau du PEM avec des arrêts et des noms de lignes établis (les changements d’exploitants ou d’échelle pour le réseau entrainant parfois des changement s de nom et donc de la confusion) est primordiale.
Conclusion :
Le recours à la voiture dans les pratiques intermodales, notamment celles de longues distances est toujours importante voire en augmentation.
Les enjeux d’aménagements lié à l’intermodalité voitures sont un produit du système voiture national poussé par les politiques de mobilité depuis plusieurs décennies. Les solutions pour diminuer son influence passent par l’encadrement de cette pratique: l’intermodalité voiture est obligatoire pour certaines personnes mais il faut viser à ce qu’elle ne soit pas la solution majoritaire.
Le développement modes doux au sein des PEM et d’autant plus intéressant dans le cadre du SERM qui visent un cadencement régulier ainsi qu’une sobriété des déplacements. La diminution de l’intermodalité voiture/SERM et TC en général au profit de l’intermodalité modes doux/SERM et TC a des conséquences au- delà des PEM : sur les écosystèmes avec la moindre artificialisation pour des places de stationnement dans le contexte de Zéro Artificialisation Nette (ZAN). Pour les habitants avec moins de nuisances sonores, atmosphérique, une meilleure qualité paysagère et enfin la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour limiter le réchauffement climatique.
Sources :
EXPERTISES TERRITOIRES : WEBINAIRE SERM :
WEBINAIRE DU 13 JUIN 2025 : COMMENT ANTICIPER L’ARRIVEE D’UN SERM SUR MON TERRITOIRE
WEBINAIRES DU 19 SEPTEMBRE 2025 : LA PLACE DE LA VOITURE DANS LES PEM DES SERM
https://www.expertises-territoires.fr/jcms/pl1_530939/fr/services-express-regionaux-metropolitains-serm
https://www.ecologie.gouv.fr/politiques-publiques/services-express-regionaux-metropolitains-serm
PUBLICATIONS :
CYPRIEN RICHER - L'EMERGENCE DE LA NOTION DE "POLE D'ECHANGES" : ENTRE INTERCONNEXION DES RESEAUX ET STRUCTURATION DES TERRITOIRES CST:12075 - LES CAHIERS SCIENTIFIQUES DU TRANSPORT - SCIENTIFIC PAPERS IN TRANSPORTATION, 30 NOVEMBRE 2008, 54 | 2008 - HTTPS://DOI.ORG/10.46298/CST.12075
CYPRIEN RICHER, GILLES BENTAYOU, BERTRAND DEPIGNY. LES POLES D’ECHANGES, DE LA GESTION DE L’INTERMODALITE AUX NOUVEAUX ENJEUX POUR L’ESPACE PUBLIC. TRANSPORTS, INFRASTRUCTURES & MOBILITE, 2018
BURCIN YILMAZER, CYPRIEN RICHER. DEMARCHES INNOVANTES D’INTERMODALITE, DE HUBS ET POLES D’ECHANGES DANS LES TERRITOIRES PEU DENSES. RAPPORT DE RECHERCHE DU
PROJET TELLI – TRAIN LEGER INNOVANT, LIVRABLE L1.2.1, CEREMA; SNCF; RAILENIUM; FERROCAMPUS. 2025
LISA ANDRE :LA PERTINENCE DES POLES D’ECHANGES MULTIMODAUX PERIPHERIQUES POUR LES USAGERS FACE A L’EVOLUTION DE L’ACCUEIL DES DIFFERENTS SERVICES DE CARS INTERURBAINS LE CAS DE L’AGGLOMERATION TOULOUSAINE – JUIN 2018 MEMOIRE DE MASTER 1 – UNIVERSITE TOULOUSE JEAN JAURES